Une grande enquête menée auprès de 8 000 professionnels du tourisme en France, Espagne, Italie et Grèce a révélé qui sont les vacanciers qui laissent derrière eux plus de soupirs que de pourboires... et spoiler : ce n’est pas toujours ceux qu’on croit !
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Selon une enquête relayée par The Telegraph, les professionnels du tourisme de France, d’Italie, d’Espagne et de Grèce ont dressé le portrait des visiteurs les plus... mémorables :
Toujours prêts à lever le coude, mais parfois pas le ton… dans la langue locale. Les Britanniques sont souvent vus comme bruyants, fêtards et peu enclins à apprendre un mot de la langue du pays.
En Grèce, certains hôteliers les décrivent même comme ayant un comportement... disons « animalier » dans les bars. Cheers, mais pas trop !
Organisés, ponctuels, carrés… au point que certains touristes espagnols les surnomment les « stratèges de la serviette ». Oui, ces vacanciers allemands sont accusés de réserver les transats à l’aube, quitte à ne revenir qu’à midi. Une tactique de guerre hôtelière pas franchement bien vue…
Cocorico… ou pas ! Si nous sommes souvent considérés comme raffinés et cultivés, on traîne aussi une réputation tenace de râleurs professionnels.
En Grèce, on se demande même : « Pourquoi râlent-ils tout le temps ? » — une question à méditer autour d’un tzatziki, non ?
Le sourire jusqu’aux oreilles, le portefeuille prêt à dégainer et l’envie de tout voir... en deux jours ! Les touristes venus des États-Unis sont enthousiastes et généreux, mais parfois un peu trop exigeants, voire perçus comme arrogants, notamment en Italie.
Silencieux mais omniprésents, les touristes chinois sont très actifs niveau selfies. À Santorin, leur passion pour les clichés peut poser problème, surtout quand ils grimpent sur des toits privés pour trouver le bon angle. Une acrobatie qui ne plaît pas toujours aux habitants.
Face à ces comportements, certaines destinations prennent des mesures pour préserver leur authenticité :
Amsterdam : La ville a lancé une campagne "Stay Away" pour dissuader les jeunes Britanniques en quête de fêtes débridées.
Barcelone : La municipalité limite la taille des groupes et restreint certaines lignes de bus pour réguler le flux touristique.
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